✔️ Témoignages de nos collaborateurs
La formation aux risques routiers et à l'éco-conduite
Guillaume Gaya, chargé de maintenance, intervient quotidiennement sur les différents radars implantés à travers l’hexagone. Sur la route une grande partie de l’année, il a suivi une sensibilisation aux risques routiers et à l’éco-conduite. Pour Guillaume, cela lui a apporté de la sérénité au volant et une meilleure vision globale de ce qui l’entoure. Ce fut également une prise de conscience de choses qu’il pensait acquises et le rappel qu’il faut toujours rester vigilant face à l’imprévu.
Guillaume, peux-tu nous dire quelle est ta fonction à PARIFEX ?
Je m’occupe de la maintenance des radars et je suis amené à passer beaucoup de temps sur les routes de par ma fonction. Les heures et les trajets s’accumulant, il m’est arrivé à plusieurs reprises de m’endormir au volant. C’est pourquoi la direction a décidé de me faire suive une sensibilisation aux risques routiers.
Quelle formation as-tu suivi ?
C’était une journée de sensibilisation sur la conduite et l’éco-conduite. Il y avait une partie théorique, des cours sur les statistiques liées aux accidents, les bons réflexes à avoir, des vidéos de mise en situation pour prendre conscience de l’environnement, des vidéos choc d’accidents, etc. Ensuite, je suis passé à la pratique sur piste où j’ai travaillé sur l’identification des distances, l’évitement d’obstacles, le freinage d’urgence, etc.
Qu’as-tu appris en matière d’éco-conduite ?
La formation à l’éco-conduite m’a permis d’apprendre à analyser la consommation et les gestes à adopter pour avoir une conduite vertueuse.
Que t’a apporté la formation ?
La formation m’a apporté de la sérénité et une meilleure vision globale de ce qui m’entourait. J’ai compris qu’il faut toujours garder un œil attentif, même sur des choses que je pensais acquises car on ne sait jamais ce qui peut se passer. Je suis content que ma direction ait réagi à la suite de mes accidents, je me suis rendu compte que finalement, ce que l’on prends pour acquis ne l’est pas vraiment. C’est une volonté aujourd’hui de la direction que tous ceux qui conduisent suivent cette formation afin d’éviter des dégâts corporels.
J’ai également appris à ne pas surcharger les trajets, à adopter un planning cohérent et supportable. Quand j’ai une intervention extérieure, je prends une journée pour l’intervention, j’organise mieux le trajet et le planning d’intervention afin de limiter le danger. Et j’essaie de prévoir au maximum à l’avance.
Peux-tu partager quelques conseils ?
Bien sûr, le plus important c’est de se reposer régulièrement durant le trajet, à partir de deux heures de route, comme on le sait tous, mais surtout selon les signes physiques. On ne se rend pas compte que le trajet fait partie du métier, de l’intervention, peut-être que l’on ne bouge pas musculairement parlant, mais on crée beaucoup de tensions dans le corps et les muscles ont besoin d’être détendus. J’ai retenu que plus on est tendu, plus les réflexes sont lents.
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